Qui suis-je ?

Avant d’être traducteur et chef de projets, je suis un passionné de jeux. Au-delà des jeux de société qui ont bercé mon enfance, j’ai découvert le jeu de rôle et le jeu de figurines il y a environ trente ans, et cette passion brule encore aujourd’hui. Pas une semaine ne passe sans que je « pousse » des figurines sur des champs de bataille miniatures, que je peigne ces fameux « petits bonhommes » ou que j’organise une partie de jeu de rôles.

Je suis né en 1976, j’ai donc quarante-quatre ans à l’heure où j’écris cette petite présentation. Papa d’un petit garçon (qui, bizarrement, adore lui-aussi pousser des figurines…) et mari d’une charmante épouse qui m’apporte tout son soutien dans mes projets ludiques, qu’ils soient professionnels ou purement récréatifs.

J’ai étudié l’anglais et le commerce dans ma Bretagne natale. Ma carrière professionnelle m’a amené à faire beaucoup (beaucoup !) de choses différentes, mais la majeure partie de ce temps a été dédiée à la gestion de projets, en particulier dans le secteur de la RSE.

Au gré des rencontres et des amitiés qui se forgent, je suis entré en contact avec Fred M. et Alex B. du Studio Tomahawk (bien entendu, autour d’une table de jeu pleine de figurines !). Entre deux jets de dés, et grâce à un ami proche qui a su nous réunir, j’ai eu l’opportunité de travailler avec eux pour la traduction française de Dracula’s America, une pépite ludique qui a occupé un grand nombre de mes soirées. Ce premier pas dans le monde de la traduction de jeu remonte à 2017, et depuis les projets se sont enchainés : le reste de la gamme de Dracula’s America, des suppléments Frostgrave et le livre de règles de la seconde édition, des suppléments pour Rangers of Shadow Deep…

D’autres projets ont vu le jour, mais la plupart doivent encore rester confidentiels et je ne peux donc pas en parler ouvertement. Disons simplement que le jeu de rôle et le jeu de plateau se sont ajoutés à mes « to do lists ».

Il a donc rapidement fallu créer une structure pour encadrer tout cela, et c’est ainsi que le Studio c12 a vu le jour.

Pourquoi c12 ?
(Non, il n’y a aucune référence à un célèbre manga japonais).
C’est très simple ! Phonétiquement, « c12 » est la contraction de mon nom et de mon prénom : Cédric Houze / Ced Houze / c12.

Je suis donc un passionné du jeu sous toutes ses formes, et je propose mes services afin que votre projet puisse toucher le marché francophone, ou qu’il puisse tout simplement voir le jour en vous accompagnant dans les étapes de sa réalisation.

N’hésitez pas à me contacter pour plus d’informations !